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Santé - Bien-être

Google aussi s’intéresse au diabète

Après le changement de structure très commenté de Google, devenu une filiale d’un groupe nommé Alphabet, l’entité “Sciences de la Vie” du groupe devient une entreprise à part entière. Et elle a fait part de sa volonté de continuer à travailler à l’amélioration de la vie des malades, et en particulier des diabétiques.

Nous vous parlions il y a quelques semaines des objets connectés qui luttent contre le diabète. Touchant près de 30 millions de personnes aux États-Unis, et plus de 3 millions en France, le diabète est extrêmement répandu. Améliorer la vie des patients atteints de cette maladie est aujourd’hui un véritable enjeu pour les sociétés technologiques qui, en plus d’oeuvrer pour un monde meilleur, ont l’opportunité de réaliser des opérations intéressantes financièrement.

C’est ainsi que Google s’est associé avec la firme californienne Dexcom, spécialisée dans le traitement du diabète, pour créer un capteur miniature de suivi continu du niveau de glucose. Dexcom commercialise déjà aujourd’hui un capteur de suivi du glucose, efficace aussi bien pour les diabètes de Type I que de Type II, qui effectue toutes les 5 minutes des relevés de glucose, permettant aux patients de prendre différentes décisions en fonction de l’évolution de leur taux de glucose au fil de la journée. Le but de la collaboration entre Google et Dexcom est de miniaturiser l’appareil, tout en faisant baisser son coût.

Ce nouveau capteur ne devrait pas arriver sur le marché avant quelques années, mais Dexcom a déjà commencé à rémunérer Google à hauteur de 35 millions de dollars, avec 65 millions de plus qui devraient être versés plus tard, en fonction du développement du produit.

À propos de l'auteur

Barthélémy Touraine

Amateur de montres et persuadé que les objets connectés sont notre avenir, j'aime dénicher des projets innovants sur des sites de crowdfunding.

1 commentaire

  • Diabète, la bombe à retardement
    Un mal silencieux mais redoutable qui mène à L’amputation et là, le diabétique à une survie max de 5 ans. Les mesures qui semblent significatives sont et, doivent être drastiques. Je trouve que c’est rêvé en couleur. Même sur le lit de mort, la personne ne peut ou ne veut pas faire plus et, préfère demander l’euthanasie. Je pense que nous avons ici un constat d’échec. C’est tout à l’honneur de la science de pouvoir reconnaître, dès-fois, qu’elle a des limites. Ne pensez-vous pas que la lumière, dans quel que soit le domaine, peut provenir de n’importe qui? un tout petit, un illettré, un néophyte, un étranger, un méchant ou même un petit salaud. Pourquoi le corps médical refuse-t-il d’entendre les patients, qui, au risque de leur vie, ont fait des expériences et ont vaincu la morbidité, la mortalité, l’ulcère des pieds diabétiques en même temps que la neuropathie périphérique, la néphropathie, la rétinopathie et, juste avec des tests de façon régulière et au besoin peut ajuster ses besoins en insuline et vivre sans jamais avoir de crainte de voir la mort de prêt ou d’être handicapé et condamner à une mort certaine dans à cause de sa pathologie du diabète. Pourquoi refusez-vous d’ouvrir votre porte pour voir si réellement la lumière n’est pas dans la bouche du petit méprisable dont je suis. Le traitement du diabète, vous l’avez déjà trouvé. Il vous reste à traiter les complications pour que, n’importe lequel des traitements déjà sur la table donne de bons résultats. La complication du diabète se traite en prenant en charge la prolifération en accéléré des kératinocytes, lors des hyperglycémies en phase avec des blessures, ou des multiples lésion s actives qui pillent dans les glandes et dans les conduits sanguins que l’on ne voit pas nécessairement. Ce traitement est simple et facile. Les nombreux cas de mortalité que l’on accumule n’ont pas lieu d’être. Il faudrait arrêter d’ameuter la population et de vider les caisses de l’état alors que nombre de communautés vivent dans la crasse et la honte. On peut faire mieux. On peut traiter la morbidité et la complication diabétique.

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